C'était donc le nl an tibétain et je pensais que ce serait pour moi l'activité principale. Mais avant cela, je voulais régler mon affaire de lecteur de cartes qui commençait à me stresser! Je me suis fait 40 mn de taxi pour me rendre dans une boutique. Qui n'avait pas ce que je cherchais. Alors je suis parti à pied vers le centre historique de Katmandou. Et c'est par hasard, dans une petite boutique, que j'ai trouvé mon bonheur! Sauvé!
Durbar square... Soudain un tas de souvenirs remonte. Ce quartier, je le connaissais par coeur. Quand je venais au Népal, il y a ... mon dieu... 25 ans... je logeais dans ce quartier! Combien de rencontres, de moments. Je m'en rappelle certains (dédicace à Pascal et Nathalie!). J'ai donc parcouru cet ensemble de temples, de statues des déités... Magnifique... quoiqu'un peu écrasé sous le soleil de la mi-journée!
Après un déjeuner dans un resto avec vu sur la grande place, suis parti vers Swayambunath, autre lieu incontournable. Une longue marche, des marche vers le haut de la colline. Des singes partout (il y avait un attroupement de gens: Un singe avait piqué un téléphone portable et il se perchait tout en haut d'un arbre avec son butin!). La montée est rude mais l'effort en vaut bien la peine! Quelle récompense! Ce stupa blanc, et toujours les yeux du Bouddha. L'activité religieuse y est aussi intense. On se prend vite à flaner, à observer. C'est cela aussi l'essence du voyage. Prendre son temps et accepter l'oisiveté! Parfois d'ailleurs, le programme peut changer: Je reçois un mail de Philip, le responsable de Sapana Circus. Il me donne rdv au gymnase où se dérouke une répétition imprévu car... il y a CNN!
Sur place, je fais la connaissance de Philipp mais aussi des instructeurs: Emma, Regine, Maddie... Il y en a deux autres dont j'ai oublié les prénoms. Bien sûr les jeunes sont aussi là. Que les filles. Je préciserai plus tard ce qu'est ce projet de cirque... En tout cas, j'ai assisté à cette répétition et CNN m'a filmé parlant avec le responsable de l'association... comme si je faisais parti de l'histoire..
Et puis, retour en taxi dans la nuit. Pas d'éclairage public... des routes déglinguées. Une circulation empirique... Ne pas oublier que derrière la sublime carte postale népalaise se cache l'un des pays les plus pauvres de la planète...
Quant à Losar, le nouvel an tibétain... j'ai un peu zappé...
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